Comment libérer ses émotions ?

#67e épisode du podcast

 

Hello ! J’espère que vous allez bien. Je vais essayer d’être un peu plus posée dans les épisodes de podcast. Je sais que j’ai une voix un peu aiguë, donc pardon pour vos oreilles. Mais en même temps, j’ai tellement d’étoiles dans le ventre que c’est difficile de les empêcher de briller. Parce qu’effectivement, je me sens alignée à nouveau par rapport à ce que je fais. Et c’est beaucoup d’énergie, beaucoup d’émotions à libérer. Et pour vous dire à quel point je me sens alignée, j’ai pleuré de soulagement après avoir partagé, après avoir enregistré l’épisode où je vous explique un peu la direction que je vais donner au podcast. C’est bête, peut-être. C’est niais, je ne sais pas, mais je dis ça parce que ça ne m’arrive pas en fait.

Je me rends compte à quel point je suis quelqu’un qui cloisonne, qui enferme, c’est parce que ça ne m’arrive pas de pleurer pour si peu de choses ! Vous me verrez sans doute pleurer devant un film. Et encore, il faut que la scène soit particulièrement touchante, qu’on m’ait fait passer par un florilège de sensations pour arriver à ce que je lâche ces petites larmes. Mais pleurer parce que j’ai réussi à enregistrer un épisode de podcast, je ne m’y attendais pas. Parce que… Parce que je n’ai pas touché au podcast depuis juillet 2023, comme je vous le disais. Et… Et je reconnais une émotion, j’avais peur ! J’avais peur qu’en revenant au podcast, en fait, je ne me sente pas si alignée que ça, et finalement ça a été le cas.

Je me sens alignée, ça a confirmé ce que je pensais, c’est-à-dire que je prends du plaisir à vous partager les choses sous ce format, je me sens plus libre de le faire, c’est plus spontané. Ça me demande moins d’énergie, moins de réflexion, et puis j’aime à croire que ça me permet de me connecter à vous.

N’hésitez pas à me dire si ce n’est pas du tout le cas. Je suis en capacité de l’entendre, mais j’aime à croire que je ne cherche pas à être en connexion avec tout le monde. Je cherche juste à être en connexion avec des gens en capacité de m’accueillir. Et j’aime à croire que c’est comme ça qu’on forme des liens qui durent.

Pardon pour ce moment d’émotion ! Je reviens sur le sujet, sur la raison pour laquelle je voulais à nouveau parler de ce thème aujourd’hui, sous un autre angle, ou en tout cas sous une autre dimension.

Je voulais parler du fait d’arriver à libérer ses émotions. Je me suis rendue compte à quel point je ne le faisais pas quand j’ai réussi à faire le lien entre certaines douleurs physiques que j’ai et cette incapacité à libérer les émotions. J’ai toujours eu un peu mal à différents endroits de mon corps depuis des années. Je sais qu’on m’avait dit que c’était potentiellement lié à des choses non acceptées, non digérées, etc.

Mais j’ai vraiment pris conscience de mon incapacité à laisser sortir une émotion, quelle que soit, sans même chercher à l’identifier, mais vraiment juste la laisser sortir, lors d’une retraite détox de jeûne que j’ai effectuée début janvier. Si vous me suivez sur Instagram, vous avez dû l’avoir passé en story. J’étais un peu plus discrète tout de même sur celle-ci par rapport à celle que j’ai effectuée en fin août 2023, parce que sur celle de janvier, j’avais envie de prendre un peu plus le temps, et une part de moi savait que j’allais… ça allait remuer des choses en moi. Ça n’a pas loupé, ça a clairement remué des choses en moi. Et je pense que ça a aussi contribué à tout ce travail que je fais depuis des mois et à faire revenir les étoiles et à les allumer à nouveau, pardon pour le petit bruit que vous avez entendu.

Donc cette retraite m’a permis de faire le lien avec certaines douleurs que j’ai dans le corps et vraiment de comprendre certaines sensations, certains messages que mon corps m’envoie pour me dire, attention, là, il faut que ça sorte, il faut libérer, il faut que ça s’évacue.

Parmi les activités qu’il y avait au cours de cette détox, il y avait un massage énergétique effectué par l’une des intervenantes. J’étais un peu sceptique au départ, parce que l’une de mes grosses problématiques, c’est que j’ai tendance à m’endormir facilement, n’importe où, n’importe quand, dès que je suis en position… En fait, j’allais dire assise ou couchée, mais pas du tout, ça m’est déjà arrivé de m’endormir en étant debout, comme ça ! Mais disons que dans le cadre d’un massage, c’est extrêmement difficile pour moi de profiter du massage sans m’endormir. Et lors de ce massage-là, ça n’est pas arrivé. 

Pourtant, j’avais un casque sur les oreilles, j’avais de la musique dans les oreilles, j’avais un bandeau sur les yeux, il y avait une ambiance tamisée, il y avait de la chaleur parce qu’il faisait un peu froid dehors. Rappelez-vous, nous étions en janvier. Donc toutes les conditions parfaites étaient réunies pour que je puisse m’endormir. Bon, j’avais aussi le ventre vide, parce que c’était une retraite détox de jeûne, donc ça aurait pu peut-être m’empêcher de dormir, mais bon, c’est pas trop ce qui m’arrête, moi. Donc j’aurais pu m’endormir, mais ça n’a pas été le cas. Et ce massage, basé sur la stimulation des points énergétiques et le rééquilibrage de l’énergie, m’a complètement chamboulée. 

C’est-à-dire que, sur l’instant, j’ai ressenti des choses, certes, effectivement, les noeuds qui se détendent, certaines choses qui circulent, mais c’est surtout à la fin, et les heures qui ont suivi, que j’ai senti la montée en pression, littéralement, dans mon corps. C’est monté, c’est monté, c’est monté. Et à un moment, j’ai senti que dans ma tête, c’était trop plein. Mais vraiment, je ne sais pas trop comment vous le traduire, mais imaginez qu’une cocotte minute, sur le point d’exploser. C’était littéralement ce que je ressentais. Ma tête était comme comprimée dans un étau, devant, derrière, sur les deux côtés. Et à l’intérieur, il y avait une boule qui grossissait, grossissait, grossissait et qui voulait se libérer. 

Donc c’était dur parce qu’on était encore pendant la retraite. On était certes sur la fin, mais je n’étais pas toute seule. Et rappelez-vous, je vous ai dit, je suis quelqu’un qui ne pleure pas facilement. Donc j’ai compris à travers cette sensation étrange qu’en fait, l’un des moyens les plus rapides, en tout cas dans l’instant, pour évacuer ce trop-plein d’énergie, était de pleurer. C’est pas quelque chose que j’aurais accepté quelques mois avant, si j’avais pas déjà commencé à faire tout ce travail sur le sujet des émotions. Mais finalement, je me suis rendue compte qu’il fallait que je le fasse. Et donc je me suis isolée. pour pouvoir relâcher quelques larmes. Et effectivement, j’ai constaté assez rapidement que la pression redescendait. J’étais à deux doigts avant de faire ça, de prendre un Doliprane pour soulager la pression que j’avais dans la tête, parce que ça se transformait aussi en maux de tête qui ne passaient pas malgré mes usages essentiels que j’avais.

Et par contre, le fait de pleurer, même un tout petit peu, d’accepter le fait de libérer ces émotions-là, ça m’a permis de relâcher la pression. Pourquoi je vous en parle ? Parce que peut-être que vous avez le sentiment qu’on s’éloigne un peu de l’écriture, mais en même temps, normalement vous l’aurez compris, dans le podcast, dans sa nouvelle version, on ne va pas parler que tout le temps d’écriture. En tout cas, il y aura beaucoup moins cette volonté de ma part de transmettre des techniques pour écrire. Ça arrivera dans certains épisodes de manière plus ou moins voulue, plus ou moins axée et orientée. Mais c’est plus forcément le socle du podcast. Mais par contre, parler de ce qui m’anime, ça l’est toujours. Et donc les émotions, ça l’est toujours. 

Et le lien entre les émotions et l’écriture, dans tout cas ce que j’ai envie de vous partager aujourd’hui, c’est que l’écriture peut être un moyen de libérer ces émotions. Puisque à défaut de pouvoir les identifier, je me suis rendu compte que mon corps m’aidait à sa manière, à me dire, là, il y a une émotion, il faut qu’elle sorte. Là, il y a une énergie, il faut qu’elle sorte. Donc aujourd’hui, je voulais vous partager quelques moyens, peut-être, qui peuvent vous aider si vous vous trouvez dans cette situation, de libérer vos émotions. Je ne suis pas une professionnelle de la santé, je ne suis pas une thérapeute, rien du tout. Simplement, je vous partage les choses qui animent mon quotidien. Et pour libérer les émotions, en tout cas côté esprit, il y a le journaling. Donc le fait d’écrire, on en revient à l’écriture. 

Je vous avais dit qu’on n’allait pas non plus totalement perdre le fil. Il y a donc le journaling qu’on peut faire tous les jours, en tout cas il est recommandé de le faire tous les jours. Quelques minutes suffisent. Dans mon cas, moi je l’ai fait assez souvent dans ma vie, mais je n’arrive pas à le tenir sur la durée. J’ai accepté que, comme beaucoup de choses, il y a des moments où j’en ai besoin et puis il y en a des moments où je n’en ai pas besoin. Et c’est ok de ne pas faire quelque chose tous les jours, même si c’est ce qu’on recommande, même si c’est ce qu’on préconise. L’essentiel, c’est peut-être plutôt de comprendre que ça nous fait du bien et d’être en capacité de s’autoriser ces moments lorsqu’on en a besoin. Ça permet un peu de déculpabiliser sur le fait de ne pas le faire tous les jours. Donc le journaling, sur n’importe quelle femme, sur n’importe quel type de support, ça peut être un cahier, votre téléphone, un ordinateur, n’importe. 

Simplement prendre le temps de libérer les émotions. C’est pour ça que… Quand moi je le fais, c’est aussi comme ça, je pense que j’ai découvert l’écriture automatique, sans m’en rendre compte. C’est que je ne réfléchis pas lorsque je tiens mon cahier de journaling, je laisse les choses arriver comme elles sont. Pas besoin de chercher quelque chose de beau, de joli, de recherché, simplement laisser tomber les mots. Pas besoin même qu’il y ait des phrases parfois, ça peut être juste une succession de mots. Parler de tout et n’importe quoi, simplement ça permet d’évacuer un peu cette énergie. 

D’ailleurs, dites-moi si ça vous intéresserait que je vous fasse des audios pour impulser un peu l’écriture, puisque je sais que ça peut être parfois compliqué de se mettre dedans ou de trouver ce qu’on appelle des promptes, des petites marches, on va appeler ça comme ça, des petites marches pour vous aider à monter l’escalier. 

Donc des petites incitations, des petits débuts d’idées pour vous aider un peu à écrire et à du coup laisser libérer ses émotions le matin. Voilà, si ça vous intéresse que je partage ces audios-là, n’hésitez pas. Parmi les autres choses aussi qui permettent de libérer les émotions, il y a la méditation, que je pratique aussi de temps en temps. Quand je dis de temps en temps, pareil, ça m’arrive d’oublier un jour de ne pas méditer. Pour compenser, je fais plutôt de la cohérence cardiaque, c’est un peu la même chose, et ça me permet de ne pas trop perdre l’habitude de prendre ce temps pour me relâcher. Donc vous avez aussi la méditation, vous avez le dessin qui permet aussi de faire ça. Vous avez le tricot. Et oui, je me rappelle d’une époque où je tricotais beaucoup au lycée, des écharpes. Et je me suis rappelée de ça avec humour la dernière fois. Ça me permettait aussi de libérer les émotions parce que mes mains étaient occupées et mon esprit partait un peu à l’exploration de mon état mental. Et ça me permettait de libérer certaines choses. 

À côté de ça, il y a aussi le chant. Et oui, le chant. Quand j’étais petite, il faut le savoir, je rêvais d’être chanteuse. Je vous dis ça, gardez ça pour vous, on est entre nous, n’allez pas l’étaler sur la place publique. Donc je rêvais d’être chanteuse et je sais que le chant, pour moi, surtout certaines musiques, c’est un moyen d’exprimer les émotions et de les libérer. Parce qu’en fonction des sujets, de la puissance du chant, de la mélodie, du texte, j’arrivais à faire une connexion avec ce que je ressentais. et donc à libérer cette émotion-là. Donc le chant est aussi un moyen de libérer les émotions, Surtout quand on y va plein poumon et qu’on s’exprime totalement. Je vous le recommande. Tant pis pour vos voisins. Mais essayez, ça vous fera du bien. Il ne s’agit pas encore une fois de faire quelque chose de joli, de beau. On ne se parle pas d’un chant pour entrer à The Voice. On se parle plutôt de laisser les choses sortir. 

C’est aussi pour ça que vous voyez souvent dans des scènes de films des personnes qui sont… Soit dans la nature, des endroits un peu isolés et qui hurlent à gorge déployée, ou quand c’est pas possible, qui le font dans leur coussin à leur oreille. J’ai testé, c’est pas mal du tout aussi. Quand on n’a pas la possibilité de s’être dans un endroit isolé, c’est pas mal de se vider en criant dans un coussin. Ça peut être un peu l’air débile, mais encore une fois, il n’y a pas de témoin, c’est entre vous et vous-même, alors allez-y. Parmi les choses aussi qui peuvent permettre de libérer les émotions, il y a aussi la cuisine. Je sais que dans mes connaissances, il y a des personnes qui mettent un peu ce qu’elles ressentent lorsqu’elles cuisinent des plats. Et je l’avais vu aussi dans des films ou séries. Je crois même dans un… dans un animé que j’avais regardé, une scène où la protagoniste, effectivement, disait qu’elle exprimait ses émotions à travers la cuisine. Pourquoi pas ? Je n’ai pas testé, mais s’il y en a parmi vous qui s’identifient à ça, vous savez que c’est aussi une manière pour vous d’exprimer vos émotions. 

En parlant d’anime, j’ai vu aussi une scène où l’héroïne disait littéralement qu’elle devait apprendre à faire du foot, ce qu’elle n’arrivait pas, et le garçon dont elle est secrètement amoureuse s’est proposé de l’aider à apprendre. Et à un moment, elle doit lui envoyer la balle et elle dit « Dedans, je vais mettre mes émotions et je veux qu’elles l’atteignent, que ces émotions, ce ballon, représentatif donc de ces émotions, atteignent le garçon dont elle est secrètement amoureuse. » C’est une scène assez drôle. Il y a une forme de poésie derrière ça. Et je pense qu’en réalité, mettre ces émotions dans n’importe quelle activité, et surtout quand on essaie de les adresser à quelqu’un, c’est aussi une manière de les libérer. Donc n’hésitez pas à vous prêter au jeu, quelle que soit l’activité que vous avez envie de tester pour libérer votre esprit. C’est une manière de libérer vos émotions. Par rapport à la manière de libérer les émotions lorsqu’il s’agit du corps, Il y a plusieurs choses. Moi, de mon côté, je me suis rendu compte que le yoga me permettait de le faire. Il y a certaines positions dans le yoga, sans qu’on rentre forcément dans les asanas ou dans des choses un peu complexes, mais qui permettent en fait de faire circuler l’énergie dans le corps. 

Et je m’en suis rendue compte lors de ma première retraite de détox, donc en juillet 2023, parce que bizarrement, Il y avait certaines positions sur lesquelles je butais tout le temps lors des cours, que j’ai réussi à faire en étant à jeun, depuis un certain temps déjà, mon corps n’étant plus occupé à faire les activités qu’il fait au quotidien, on pouvait se reposer, et certaines douleurs aussi étaient moins présentes. Déjà aussi parce qu’il n’y avait plus d’alimentation parallèle qui contribue aussi à réduire ces douleurs. Je ne vais pas rentrer dans un cours technique par rapport à ça, vous n’êtes pas là pour ça. Mais simplement, le yoga, par certaines postures, qu’on fait permet de faire circuler l’énergie dans le corps et de la libérer. Et donc c’est aussi un moyen, si vous le souhaitez, de libérer vos émotions. Vous avez aussi la danse qui permet de faire ça. C’est pour ça que souvent on dit de danser… 

Vous savez cette fameuse phrase « danse comme si personne ne te regardait » ? C’est un peu ça aussi. Mettre la musique à fond, encore une fois désolé pour les voisins, Et danser jusqu’à… J’allais dire jusqu’à ce que mort s’en suive, c’est pas du tout l’idée. Danser en tout cas jusqu’à ce que l’émotion soit exprimée. Je l’ai fait aussi de temps en temps et c’est pas mal du tout. Il y avait notamment une musique que j’écoutais souvent en répétition, en boucle. Et d’ailleurs, c’est la musique qui accompagne la vidéo dans laquelle je vous annonce que j’avais écrit un best-seller au-delà de nos mots. Et c’est une musique que j’adore. Chaque fois que je pense à elle, elle me donne envie de bouger, de danser et de libérer ce qui se passe. Et du coup, je sais aujourd’hui que cette musique, pour moi, est un outil direct de libération d’émotions. Sans encore une fois parvenir à forcément identifier l’émotion en question. Mais je sais que si je lance cette musique et que je m’autorise à laisser mon corps bouger comme il en a envie, je vais réussir à libérer cette émotion. Donc n’hésitez pas aussi à le faire, et je dirais que le dernier moyen, enfin il y en a beaucoup des activités qui permettent de libérer les émotions au niveau du corps, mais je dirais que parfois provoquer simplement aussi les larmes permet aussi de libérer les émotions. 

Pour ça, chaque personne fonctionne à sa manière. Il y a par exemple toujours encore l’écriture. Il y a le carnet Le Club des Larmes de Morgane Autain, qu’on nous avait offert lorsque j’étais lectrice pour la maison d’édition Le Duc, qui est pas mal du tout, puisqu’il y a dedans à chaque fois… On vous invite à vous raccrocher un souvenir et à libérer potentiellement les larmes qui sont associées à ce souvenir-là. Donc ça permet de faire couler les larmes. Il y a des personnes aussi qui arrivent à pleurer, je ne vais pas dire sur commande, mais qui en tout cas arrivent à provoquer la libération de ces larmes-là. Ce n’est pas trop mon cas. Mais par contre, je sais que certains livres, certaines séries, certains films, vont provoquer ça chez moi. 

Donc quand je sens que la cocotte minute ou reprendre cette image commence à se remplir, je vais aller chercher ces outils qui viennent libérer ces émotions. En fonction de là où on se trouve, parfois on n’est pas toujours seul lorsque les émotions s’accumulent. Parfois, c’est des émotions difficiles à évacuer parce que ce sont les autres aussi parfois qui les provoquent et qu’on est encore dans ces situations confrontées aux autres et qu’on ne peut pas s’autoriser à être seul pour pouvoir les libérer. Mais en fonction de l’endroit où vous vous situez, du contexte, vous avez plusieurs outils à votre disposition pour arriver à libérer ces émotions. Ça peut être intéressant d’essayer de les lister pour pouvoir piocher dans ce qui est le plus adapté en fonction de la situation et de son contexte. 

Voilà, je voulais vous parler de ça aujourd’hui, du fait d’arriver à libérer ses émotions. Et j’espère que ça vous sera utile, que ça vous a été utile. Et n’hésitez pas à me dire si vous aussi, comme moi parfois, vous trouvez que les livres sont des outils très pratiques pour libérer les émotions. J’aime bien aller relire certains passages de livres qui m’ont marquée. C’est plus facile quand il s’agit de livres de poésie parce que les passages sont plutôt courts, mais ça marche aussi dans les livres un peu plus longs. Si vous aussi vous avez des livres que vous aimez bien lire pour libérer vos émotions, n’hésitez pas à me le dire en commentaire, à m’envoyer un message sur Instagram ou autre, je les ajouterai à ma collection personnelle. Puis peut-être que je les rassemblerai pour en faire profiter le plus grand nombre. 

Prenez soin de vous et de vos émotions.