Un mois chargé, séances de dédicaces, nouvelles entrées de mon livre en librairie, jeu-concours, sortie de mon podcast et d’un workbook… bref, je n’ai pas chômé !
La vie d’auteure
Actions de communication et de ventes de mon 1er livre — en physique :
Ce mois a donc été marqué par 4 séances de dédicaces dans Paris et sa proche banlieue. De nouvelles occasions de discuter avec des amoureux de livres et de faire découvrir la poésie contemporaine à des personnes y étant réfractaires ou ne la connaissant pas. C’est toujours aussi impressionnant d’être en face d’inconnu.e.s pour voir si la couverture du livre, si ce que je dégage va les attirer, susciter leur interrogation et peut-être même… leur donner envie d’échanger avec moi. C’est impressionnant et enrichissant. À chaque fois. Je remercie les nouvelles personnes qui ont pris le temps de m’accorder le leur et qui sont reparties avec un produit de l’univers Mahuna Poésie. J’espère de tout cœur avoir encore l’opportunité de les croiser et de connaître leur avis après avoir lu mon recueil.
À fêter également ce mois-ci : les trois nouvelles entrées en librairie pour mon recueil ! La liste est à jour, tu peux maintenant trouver « au-delà de nos maux » dans le 5e, 11e, 13e et 20e à Paris. Une fois de plus, c’est incroyable de constater la capacité de persuasion de ce livre. Il arrive presque toujours à convaincre les libraires au départ opposées au dépôt-vente à changer d’avis. Et si on me dit tout de même non, c’est souvent pour une question logistique ou parce que la poésie n’est vraiment pas développée dans la librairie en question. Je remercie ces nouveaux libraires pour leur confiance et je ne doute pas que mon recueil se vendra dans leur boutique et saura séduire des lecteurs ou lectrices.
Actions de communication et de ventes de mon 1er livre — sur le web :
J’ai pu trouver quelques chroniqueuses littéraires avec lesquelles j’ai échangé quelques messages via Instagram. Grâce à elles, j’ai pu découvrir de nouvelles autrices et mettre à jour aussi ma pile de livre à lire, qui augmente dangereusement. Leur engouement pour lire « au-delà de nos maux » et leur diversité de genres littéraires me rassurent. Car cela veut dire que la poésie, contemporaine, a toujours une place. Ainsi, j’ai pu faire ma deuxième interview depuis que je suis devenue auteure. C’était pour le site « Cultures sauvages », tu trouveras l’interview ici. Enfin, c’est aussi en cherchant des blogs ou Youtubeuses/Youtubeurs littéraires que j’ai découvert Chloé de @quartierdulivre qui a lu mon recueil et en parle dans une super vidéo. Cela me touche toujours autant de voir l’accueil réservé à mon livre, la joie, l’engouement lorsqu’on le découvre. J’aime beaucoup également savoir si le message que j’ai voulu transmettre dans ce livre a été compris ou non.
En outre, j’apprends aussi des choses que je ne savais pas moi-même sur mon style d’écriture.
J’ai vraiment écrit ce recueil au fil de mes émotions, du chant des mots et des rythmes que j’avais en tête. Alors lorsqu’on me dit que j’ai respecté certaines structures poétiques ou que j’ai un style d’écriture caractéristique de quelqu’un qui maîtrise et sait jouer avec les mots… je suis plus que flattée ! Je remercie ces deux femmes d’avoir pris le temps de me lire, me donner l’opportunité de faire découvrir mon recueil et mon univers à d’autres personnes. Enfin, je les remercie pour la manière dont elles ont su mettre en lumière mon recueil. J’ai hâte d’avoir à nouveau l’opportunité de discuter avec d’autres chroniqueuses ou chroniqueurs littéraires.
Dans cette optique, je suis en train de finir le communiqué de presse et, dès qu’il sera prêt, je l’enverrai aux journalistes et magazines de rédaction que j’ai identifiés. Il est plus que temps d’essayer d’être visible auprès de la presse pour venir soutenir les actions de communication que j’ai déjà mises en place. J’ai bon espoir que tout ce qu’il s’est passé depuis janvier, les retours des lecteurs et professionnels de l’édition sauront convaincre les journalistes de m’aider à gagner en visibilité.
Oh, j’ai failli oublier, j’ai réussi à faire partie des 100 finalistes retenus pour le Grand Prix Poésie RATP 2021.
Le jury était, présidé, cette année, par l’artiste Vincent Delerm, et composé de personnalités du monde des arts et des lettres. 9 753 textes ont été envoyés du 29 mars au 2 mai dernier par des poètes de tous âges et de toutes les régions de France. Mon texte fera partie des 99 autres qui seront publiés dans un recueil aux Éditions Gallimard. Ce n’est pas le prix défini, mais c’est tout de même une jolie victoire à mes yeux. Et cela me donne envie de trouver d’autres concours pour y participer. Toute visibilité est bonne à prendre et tout challenge littéraire me permet de tester et améliorer mon style et ma plume.
L’écriture du 2e livre
À l’heure où j’écris ce bilan, j’ai rassemblé au même endroit, sur Notion (je te parle de ce logiciel ici), l’ensemble des textes écrits sur différents supports numériques sur mon ordinateur. Ce qui me permet d’avoir une vision globale de ce qui a déjà été fait et surtout de ce qu’il reste à faire. Sur Instagram, je partage en story mon organisation, si cela t’intéresse, je t’invite à me suivre si cela n’est pas déjà fait ! Je partagerai de plus en plus d’informations au fur et à mesure que j’avancerai dans l’écriture de ce 2e livre.
La vie d’auteure entrepreneuse :
Afin de partager mon aventure, mais également d’être transparente sur ma manière de travailler, j’ai créé deux outils.
Premièrement, en téléchargement gratuit sur mon site, il y a un ebook, le workbook créativité avec une combinaison d’outils permettant d’écrire tous les jours. L’ensemble des outils proposés donnent accès à 45 outils pour créer sa propre routine d’écriture et se mettre ou se remettre à écrire. Ce sont de bons outils en complément des ateliers d’écriture que je propose, en individuel ou en collectif. Deuxièmement, j’ai lancé un podcast, la Voix des Mots. Chaque semaine, j’aborde un sujet lié à la créativité, l’écriture, l’autoédition ou ma vie d’auteure entrepreneuse. C’est un format qui me permet de partager plus de choses, de manière moins rébarbative que sous forme d’un article sur le blog et plus approfondie qu’un format court sur Instagram. Il y a déjà deux épisodes, et les premiers retours que j’ai eus sont plutôt encourageants !
Enfin, je poursuis les formations débutées il y a quelques semaines.
Elles me permettent de travailler mon état d’esprit, mais également de préparer le plan de communication du livre numéro 2. Je songe d’ailleurs à m’inscrire à une nouvelle formation, j’ai posé quelques questions à la personne qui l’a créé d’abord. Je souhaite m’assurer que cela correspond bien à ma situation, car des écrivains auto-entrepreneur et consultante en web marketing, je n’en ai pas encore trouvé sur internet. Mon cas étant un peu particulier, je préfère m’assurer que la personne en charge de cette formation saura m’accompagner ou adapter au besoin son programme à mes spécificités.
La vie de chroniqueuse littéraire :
Mon rythme de lecture est un peu au ralenti avec tout ce que je dois faire. Mais j’ai tout de même eu le temps de lire deux livres supplémentaire.
Il y a une nouvelle chronique sur le blog d’un roman assez dur, mais intéressant centré sur les conséquences du génocide des Tutsis : « Tous tes enfants dispersés ». Je te recommande vraiment de le lire, il aborde également la question de l’identité et de l’afroféminisme.
La chronique du 2e livre arrivera dans quelques jours, elle a déjà été publiée sur Instagram, mais j’ai voulu modifier quelques petites choses ensuite. Je la posterai et mettrai cet article à jour. Actuellement, je suis entrain de terminer « Barbe bleue » d’Amélie Nothomb. Après le livre sur le génocide des Tutsis, j’avais besoin de quelque chose de plus léger. Sur Instagram, j’ai également décidé de faire des chroniques un peu différentes de d’habitude et de celles qu’on peut retrouver sur mon blog. J’essaie maintenant de donner également mon avis en tant qu’écrivaine en plus de mon avis entrant que lectrice. Cela m’oblige à avoir une approche de la lecture différente, mais intéressante, car elle me permet d’enrichir mon propre style d’écriture. et mon propre agencement de mon 2e livre à venir.