Je suis plutôt fière de moi, pour une fois, j’écris le bilan mensuel à temps et non à mi-mois :). Cela témoigne d’une amélioration dans mon organisation. Faisons donc le bilan de ce qu’il s’est passé en mars.
Du côté de la vente de mon recueil
En physique :
Bon, comme souvent dans la vie, il arrive que les choses ne se passent pas comme prévu. Je devais référencer le livre sur Librinova, ce qui allait me permettre d’être présente à la commande sur 5 000 librairies de leur réseau et sur 200 sites en ligne. Mais cela ne sera pas possible de le faire en passant par eux, car je n’ai pas le choix du prix du livre en passant sur cette plateforme. Et comme le prix de mon livre a déjà été fixé, je suis obligée légalement de ne pas en changer. En outre, je n’avais pas non plus la main sur le rendu du livre papier, ce qui va à l’encontre de l’expérience que je souhaite transmettre au lecteur de mon recueil. Cet imprévu réduit ma diffusion, d’une part, et d’autre part, m’oblige à enregistrer mon livre manuellement si je souhaite qu’il soit en vente sur ces 200 librairies en ligne. C’est décevant, mais c’est comme ça, il faudra s’adapter !
L’objectif pour Avril sera plus réaliste : référencer le livre à la Fnac. C’est un processus long et fastidieux, mais indispensable. Je me dois d’essayer.
Il y a tout de même une bonne nouvelle : j’ai vendu 3 des 4 livres que j’avais mis en dépôt dans la librairie de mon quartier, en moins d’un mois. J’en ai déposé d’autres. Et mon objectif sur Avril, et c’est un engagement cette fois est de le placer dans au moins 10 librairies. Fortifiée par ces premières ventes, je vais pouvoir solidifier mon argumentaire auprès des librairies et les rassurer quant à la qualité de mon ouvrage.
Sur le web :
J’ai découvert et testé un nouveau format sur Pinterest, les épingles story. Elles m’ont permis de gagner en visibilité de manière inattendue. En 3 semaines, je suis passée de 7 000 vues mensuelles à 30 000 ! Incroyable. C’est un format très intéressant et bien très pertinent par rapport à ce que je souhaite partager. Je continue les tests avant que ce format ne soit public et suis heureuse de faire partie des early creators à pouvoir l’utiliser. Seul bémol pour ce format, les tags qui restent encore trop limités, réduisant donc la diffusion et la pertinence pour le référencement.
Côté Instagram, je m’essaie de nouveau aux réels, en continuant à faire des tests afin de trouver le contenu qui est le plus susceptible de plaire à mes abonnés. Un long chemin de croix, mais j’ai bon espoir de trouver la réponse un jour haha. En revanche, j’ai pu réaliser un concours en partenariat avec Morgane (@mozeinas) qui m’a permis d’offrir un exemplaire du recueil, une affiche issue du livre le tout accompagné d’un mois de yoga offert. Un très beau cadeau pour apporter un peu de douceur en cette période de nouveau confinement.
Enfin, en parlant des affiches, j’ai pu ouvrir les ventes ! Il reste des ajustements à faire dans l’ergonomie du site sur la page boutique – merci WordPress et Javascript qui me rende la vie dure – mais cela n’empêche pas leur commercialisation. J’espère qu’elles te plairont.
Du côté du blog :
J’ai fini deux livres, « Beloved » de Toni Morisson et « Les impatientes » de DjaÏli Amadou Amal. Deux livres forts en émotions que je te recommande. J’ai pu participer à une Masterclass en ligne dans laquelle Leïla Slimani était interviewée, j’en ai beaucoup appris.
Au cours du mois d’avril, j’ai également fait quelques modifications pour améliorer la SEO, grâce à quelques conseils obtenus lors d’une room sur Clubhouse à nouveau. On verra ce que cela apporte par la suite.
Du côté de mon activité de freelance :
Je continue de réfléchir, de me renseigner d’échanger avec des personnes s’étant elles aussi lancées dans cette aventure. Clubhouse m’aide beaucoup dans ce domaine. J’y rencontre beaucoup de profils différents et m’enrichit des expériences des uns et des autres. Je gagne aussi en assurance grâce aux rooms que j’y anime. Le club l’art d’écrire continue de grandir et grâce à lui je co-anime des ateliers d’écritures, des rooms pour partager des conseils d’écriture, des rooms pour apprendre également sur les autres genres littéraires qui existent en dehors de la poésie. C’est chouette, réconfortant, intéressant et challengeant.
Je travaille à définir mes objectifs de vie, à répondre à des questions basiques mais extrêmement importantes qu’une personne rencontrée là-bas m’a soumis : qui ? quoi ? comment ? où ? pourquoi ? combien ? Des questions pour poser les fondations de ma devise : « mettre mon activité professionnelle au service de ma vie personnelle ».
J’essaie de moins m’inquiéter concernant le fait que tout cet aspect de ma vie soit encore flou et continue d’identifier des pistes de métiers, que je pourrais adopter, voire même créer. C’est un peu comme la phrase qui dit d’écrire le livre qu’on aurait aimé lire… si le métier qui me correspond n’existe pas, eh bien je vais tâcher de le construire !